CHARTRES - Historique

CHARTRES
« Paroisse St Brice »

 

Historique

Chartres est l’une des plus antiques cités des Gaules.

Tite-Live écrivait que, sous le règne de Tarquin l’Ancien (600 ans avant Jésus-Christ), les Carnutes étaient au nombre de ces peuples gaulois qui, sous la conduite de Bellovès, franchirent les Alpes et vinrent s’établir en Italie, où ils fondèrent les villes de la Gaule-Cisalpine.

César citait les Carnutes, comme étant l’un des peuples le plus belliqueux de la Gaule-Celtique, au nombre de ceux qui résistèrent avec le plus de vigueur à la conquête, et les derniers à se soumettre à la domination des Romains.

Chartres, alors connu sous le nom d’Autricum, était la bourgade la plus importante du pays des Carnutes (carns : autel ; hutle : habitation au milieu des forêts).

Il conserva ce nom celtique jusque vers le milieu du IV° siècle, époque à laquelle toutes les capitales des peuples gaulois qui n’étaient ni colonies, ni métropoles, abandonnèrent leurs dénominations primitives pour ne garder que celle de leur nation.

Autricum Carnutum devint donc simplement Carnutes ou Carnutum, dont le Moyen-Age a fait Carnotum, et notre idiome français : Chartres.

Chartres dépendait de l’intendance d’Orléans et du Parlement de Paris, mais possédait son propre grenier à sel et sa coutume.

Le « grand Chartres » d’aujourd’hui comprend de nombreux hameaux, dont certains existaient déjà dans les différentes paroisses.

Le Chartres d’autrefois comportait de nombreuses paroisses, dont la paroisse « St Brice »

 

Différents lieux dits que l’on retrouve couramment cités dans les actes de la paroisse St Brice  (certaines  appellations se retrouvent aujourd’hui dans des noms de rue ou de hameaux ; d’autres ont complètement disparu) :
  • St Brice,  alias St Martin-au-Val, ancien monastère au X° siècle. Le 20 mars 1665, le chancelier Ségnier acheta l’église et le couvent de St Martin pour la communauté des frères Capucins de St Lubin-des-Vignes qui occupèrent les lieux jusqu’en 1793, lors de la Révolution.

D’importants vestiges ont été mis à jour sur ce site de St Martin-au-Val, (mais d’autres sont encore enfouis sous des constructions contemporaines) dont les plus anciens remonteraient à l’an 70 après Jésus-Christ. A cette époque, les marécages de la vallée de l’Eure furent remblayés pour permettre la construction d’un gigantesque édifice religieux. Le bâtiment, de type sanctuaire, n’aurait jamais été achevé. D’après les archéologues en charge du chantier, hormis à Rome, aucun édifice atteignant de telles proportions n’aurait été découvert.

Jalonné de chapelles de formes différentes dédiées  à des divinités, le lieu de culte accueillait les commerçants usagers de l’Eure, rivière alors navigable.

En ce 1er siècle, il existait également un temple situé sous l’actuelle rue Vangeon.

D’après les archéologues, les constructions de ce site devaient être couvertes en tuiles, mais, à ce jour, les fouilles n’ont pas encore permis de retrouver la moindre trace de tuiles.

Ponctuellement, le chantier de fouilles est ouvert au public pour des visites guidées ou, comme le premier week-end de juillet 2014, pour des animations permettant de s’imprégner de l’atmosphère de cette époque (conduite d’un chantier par des artisans : forgerons, maçons, tailleurs de pierre, et présence de figurants « légionnaires » pouvant initier les jeunes volontaires au maniement de la lance et du bouclier).

  •  : la courtille de Launay avait donné son nom à la tourelle de Launay qui faisait partie des anciennes fortifications de la ville de Chartres au XVI°siècle.
  • Le dragon
  • Le Gord (dépend en partie du Coudray). Ce nom indique les travaux de retenue faits par les Romains pour conduire à Chartres les eaux de la rivière d’Eure au moyen d’un aqueduc souterrain dont a trouvé des vestiges.
  • La Magdeleine (aujourdhui « La Madeleine »)
  • Les Bas bouts (vraisemblablement aujourd’hui les Bas bourgs)
  • Le pavé de St Brice
  • La Perrière ou Les Perrières
  • Les Bas Bourgs (les plus anciens titres appellent ce faubourg le Barbou (Barbo 1101-1129). Ce quartier donna-t-il ou emprunta-t-il son  nom à la puissante famille Barbou (Barbotus, Barbodus) dont le premier membre apparaît en 1080 ? Nul ne le sait.
  • Chemin de Bonneval
  • Les vieux capucins
  • La Pérotière
  •  
  • Les trois ponts
  • Le petit Beaulieu 
  • St Lubin des Vignes

 

La cure de St Brice était autrefois dans la nef de St Martin-au-Val. La paroisse fut supprimée à la Révolution et l’église de St Martin prit le nom de St Brice.

Le présentateur était le prieur de St Martin-au-Val.

Le prieuré de St Martin-au-Val était réuni à « Bonne-Nouvelle » d’Orléans.

Monastère au X° siècle, puis couvent de Capucins en 1663, il devint, à dater de la Révolution, hospice, sous le nom de St Brice.

 

Prieurs

1128    GAUTHIER
1185    GUILLAUME
1197    HAINON
1232    HERVÉ

1528    du TERRAIL Jacques, bénédictin, frère du chevalier BAYARD, abbé de Josaphat. Il fut appelé « le père des pauvres », à cause de sa grande charité. Mort évêque de Glandèves.
1578     LA ROCHEFOUCAULT-RANDON (jusqu’en 1616)
1616    d’ESCOUBLEAU H. ; il devint évêque de Maillezais en Vendée.
1649    LE FÉRON J.B., conseiller et aumônier du Roi, prieur commendataire. Il réédifia l’église et fut inhumé au pied de l’autel en 1659.

 

Curés

1556    HÉRON Pascal
1573    GESLAIN Gilles
1633    GRISET
1635    TOURAILLE
1663    BOUVET René (du Mans) ; † 1672, à 39 ans.
1672    DOULLAY Roch ; 1695 chanoine ; † 1714.
1695    HOREAU M. Il fut tué d’un coup de pierre en 1712, sans doute accidentellement, par Julien GORDIER qui fut condamné à n’être pendu que par effigie. L’épitaphe du dit HOREAU se voyait sur le côté du mur de l’église, vis-à-vis le chemin des trois ponts ; inhumé dans le cimetière.

1712    BOUVET Étienne (jusqu’en 1733)
1730    SALMON, vicaire
1730    DUROCHER, vicaire
1733    BELLANGER Noël
1753    CROSSON Claude, † 1762.
1762    FILASTRE Louis, qui permute, en 1784, avec le curé de Dancé (Orne). 1802 : retiré à Thiron dans sa famille. 1804 : curé de Marolles.
1784    GUERRIER Pierre François, né à Chartres ; 1791 : assermenté et vicaire épiscopal.

Vicaires

1681    HERBELIN, prêtre habitué
1690    LEFEBURE, prêtre habitué      
1690    GOUESZY Guillaume ; 1691 : curé de Maillebois.
1691    THIBAULT
1692    BEAUNIER, prêtre habitué
1692    DONANT Jean, vicaire, puis prêtre habitué ; † 1704 à 49 ans.
1704    BOUVET  Étienne ; 1709 : curé de St Georges-sur-Eure.
1710     LÉGER
1711    GRILLON
1712    BOIVIN  Nicolas Charles ; 1712 : vicaire d’Yèvres.
1713    PIPEREAU Jacques ; mort en 1716 à 27 ans.
1715    AUVRAY, prêtre habitué ; 1717 : vicaire.
1719    LEVACHER (jusqu’à 1730). Prêtre habitué : 1723.
1725    BARÉ Jean Baptiste, diacre, chanoine de « St Maurice », et prêtre habité de « St   Hilaire » ; † 1725 à 24 ans.
1730    LEGROS
1730    DAGUET Jacques ; 1733 : curé d’Ermenonville-la-Grande.
1733    SIMON, prêtre habitué.
1734    METTE
1739    ROUSSEAU
1741    EVERARD
1741    MONDAMER
1742    LESAGE Nicolas ; 1743 : curé de « St Hilaire ».
1745    MONTÉAGE Louis
1748    COISPEAU Louis Toussaint ; † 1753 à 30 ans.
1754    JUTEAU.
1760    SÉDILLOT.
176.     LESAGE Jacques ; 1770 : dessert Le Coudray.
1770    MAILLARD Paul Étienne, licencié en théologie ; 1772 : curé de « St Saturnin ».
1771    RABOURDIN Nicolas ; 1776 : curé de Thiron.
1776    SORET
1777    TABOURIER Pierre Nicolas ; 1781 : curé de « St Martin le Viandier ».
1781    MAUGIN Aimable Honoré ; 1791 : intrus de « St Aignan ».
1783    DARAULT (ou BARAULT) ; 1783 : curé de « St Hilaire ».
1790    OZERAY Michel François, né à Chartres ; 1791 : vicaire de Courville.
17..      SAUSSAY Martin Aignan, directeur des orphelins ; mort en 1754 à 37 ans.

 

CHARTRES Saint-Cheron

I

 

Chartres est l’une des plus antiques cités des Gaules.

Tite-Live écrivait que, sous le règne de Tarquin l’Ancien (600 ans avant Jésus-Christ), les Carnutes étaient au nombre de ces peuples gaulois qui, sous la conduite de Bellovès, franchirent les Alpes et vinrent s’établir en Italie, où ils fondèrent les villes de la Gaule-Cisalpine.

César citait les Carnutes, comme étant l’un des peuples le plus belliqueux de la Gaule-Celtique, au nombre de ceux qui résistèrent avec le plus de vigueur à la conquête, et les derniers à se soumettre à la domination des Romains.

Chartres, alors connu sous le nom d’Autricum, était la bourgade la plus importante du pays des Carnutes (carns : autel ; hutle : habitation au milieu des forêts).

Il conserva ce nom celtique jusque vers le milieu du IV° siècle, époque à laquelle toutes les capitales des peuples gaulois qui n’étaient ni colonies, ni métropoles, abandonnèrent leurs dénominations primitives pour ne garder que celle de leur nation.

Autricum Carnutum devint donc simplement Carnutes ou Carnutum, dont le Moyen-Age a fait Carnotum, et notre idiome français : Chartres.

 

Chartres dépendait de l’intendance d’Orléans et du Parlement de Paris, mais possédait son propre grenier à sel et sa coutume.

 

Le « grand Chartres » d’aujourd’hui comprend de nombreux hameaux, dont certains existaient déjà dans les différentes paroisses

 

La Paroisse « Saint Cheron » était l’une des onze paroisses de Chartres qui collectaient la gabelle ; une douzième paroisse a peut-être existé dans les faubourgs : La Madeleine de St Jean, qui avait été créée postérieurement au XIII° siècle et qui aurait disparu au XVII° siècle.

A partir de 1792, tous les registres paroissiaux sont établis par la Paroisse Chartres « Notre-Dame (cathédrale)

 

Les hameaux existant encore aujourd’hui que l’on retrouve dans les actes d’état-civil de la Paroisse « St Cheron » sont :

  • La Baulieue (Ecclesia beati Georgii de Bauleuya, leprosaria fundata in honorem almae Trinitatis et Sancti Georgii(1229)) : ancienne maladreriede St Georges. Son église fut incendiée lors du Siège de Chartres en 1568. En 1994,c’était une ferme.
  • Le Petit-Archevilliers : ferme
  • Le Puits-Drouet , Alias Puits-Droet (Puteum Droeti), du nom de Barthélémy-le-Droais, bourgeois de Chartres, qui en était seigneur en 1250. (Au fil des siècles, l’origine du nom a dû être oublié, car l’on rencontre des orthographes très variés, dont, parfois :  « le Puits du Roy »)

 

SAINT-CHERON-les-CHARTRES

 

Sanctus-Karaunus prope Carnotum, Sanctus-Karaunus Carnotensis (St Cheron les Chartres), alias Saint-Cheron-Mont-Couronne, ou le Mont sacré, ancienne abbaye, dont une partie des bâtiments et l’église désaffectée sont aujourd’hui dans l’enceinte d’un lycée.

 

Ce fut d’abord une chapelle bâtie sur le tombeau du martyr saint Cheron.

Saint Papoul, évêque de Chartres, y établit, au VI° siècle, une communauté de clercs sous la conduite d’un abbé.

Au XI° siècle, nous y trouvons des chanoines séculiers, et, au XII° siècle, des chanoines réguliers.

Saint-Cheron fut pendant longtemps une cure de Chartres ; mais, en 1684, Ferdinand de NEUVLLE, évêque de Chartres, supprima ce titre curial et l’incorpora à la mense conventuelle.

En 1892, Saint-Cheron était le petit séminaire diocésain.

 

ABBES MOINES

 

659                  APER

  1. DENYS I

676                  BAUDOUIN

687                  SIMON I

701                  DENYS II

717                  SIMON II

730-750          HERVE

750-772          DODON

772                  ODON ou EUDES

788                  MATHIEU

799-842          DENYS III

  1. HERVE II. C’est sous son administration (850) que les normands brûlèrent

                 son monastère

885                  AIMERIC

  1.  

941                  GRAULFE

  1. HERVE III
  1. GARNIER, mort en 1006. A sa mort des troubles s’étant élevés dans le

                  monastère pour l’élection d’un abbé, afin d’y mettre un terme, on donna

                  l’administration de l’abbaye à HARDOUIN, chanoine de Chartres, qui prit le

                     titre de prévôt et substitua des séculiers aux réguliers.

 

PREVOTS SECULIERS

 

  1. HARDOUIN

1036-1069    HERVE

  1.  

1111            GUERIN

  1. CLEMENT. Sous son administration, les troubles recommencèrent. GOSSELIN, de Lèves, ne pouvant faire la paix, chassa les chanoines séculiers et mit en leur place des chanoines réguliers.

 

ABBES CHANOINES REGULIERS

 

1149                THIBAUD  1er

  1. AUCHER. Il donna, à titre d’assistance, 15 sous pour la célébration de la fête de Saint Cheron, et demanda qu’en quelque endroit qu’il mourût dans l’étendue de dix lieues son corps fut apporté dans l’église de Saint Cheron.

1198-1206      de VER Robert

  1. GOSSELIN ou JOSSELIN
  1. des CHOUX Pierre, mort en 1239

1239-1241      DENYS

1242-1248 MATTHIEU

1249 GILLES

1254 PHILIPPE

1273 SIMON

1278 PIERRE II

1296-1314 Jean d’EPERNON

1315-1354 de VAUCELLES ou de VILLIERS P.

1386-1416 JOURDAINRobert

1416 CARREAU Jean

1419 HERMET Pierre

1421-1440 RICORDEAU Guillaume

1440 THIBAUD II

1454 MAHAUT Jean

1483 PIERRE V.

1493 TEXIER Pierre

1499 BREBIER Nicolas, mort en 1500

1500 RICOUL Jacques, fils d’un laboureur d’Ablis, 1508 évêque de Termes in partibus et

         auxiliaire de Chartres. 1513 : résigne

1513-1524 BOUCHERON Mathurin

1524 SIMON Bart., fut évêque de Sébaste in partibus et auxiliaire de Chartres. Mort en

         1541

1541 SALEL Hugues. Fut valet de chambre, puis maître d’hôtel de François 1er, faveur

         que lui avaient méritée ses poésies ; mort en 1553

1553-1571 de MYRBRICH G., du diocèse de Cologne. En 1568, les hérétiques brûlèrent

                 l’église et le monastère

1571-1580 d’AUBERMONT G.

1580 GABOIS Laurent, religieux de Marmoutiers devint abbé commendataire, mais le

         Saint-Siège ne lui accorda jamais de bulles. Il avait, par dispense, pris l’habit de

         Chanoine régulier ; mort en 1583

1586 BAIGNEAUX G. ; 1589 :tué par les gens de la Ligue

1589 PICARD Josias : nommé par le Roi, mais les religieux le refusent et nomment

         Claude de SAINCTES, évêque d’Evreux

1595 LE CRAIEUX Pierre

1598 de VALOIS

1600 JOUBERT N., chanoine de Chartres. Il obtint un brevet du Roi pou l’abbaye de

         Saint-Cheron au nom de P. REGNAULT, chanoine, et à la charge d’une pension de

        200 livres. Mais, en 1605 tous deux furent dépossédés par arrêt du grand conseil.

1605 BENOIT L. religieux cordelier et docteur en théologie. Une dispense du Pape lui

         permit de prendre l’habit de chanoine régulier. Ses bulles l’indiquent comme

         successeur  d’AUBERMONT, les autres titulaires n’ayant jamais été institués

         canoniquement ; mort en 1613

1613-1643 REGNAULT P., le même que plus haut, mais, cette fois, légitime. Sous lui, les

         chanoines fondèrent un séminaire pour l’éducation de la jeunesse

16… de LONGUEIL G., mort d’apoplexie en 1669

1669 Révérend F.-Laur., mort en 1680

1680 TESTU de MAUROY J., de l’Académie française ; mort en 1706

1706 COCHOIS Henri, docteur en théologie ; mort à Paris en 1742

1742-1757 de GALIFFET L., docteur en Sorbonne et vicaire général d’Aix

1757 de PREIGNEY Matherot ; 1768  mort à Paris à 60 ans

1758 RIVIERE J.F. : vécut jusqu’à la Révolution

         Le 23 avril 1790, il ne restait plus que quatre religieux, y compris le curé-prieur.

 

 

CHARTRES « Paroisse Saint Cheron »

(Sanctus Caraunus)

(Eglise paroissiale  dans le monastère)

 

PRIEURS-CURES

 

14..            BECHEBIEN P., médecin du Roi, 1443 évêque de Chartres, + 1468, inhumé à Saint-

            Cheron.

  1. HUBERT Jean
  1. BREBIER Etienne
  1. BREBIER François

1587          DUCHESNE Mathurin, curé de Coltainville et de Saint-Cheron.

1589          BEVILLE Jacques

1589          GUERIN L., prieur-curé des Granges et de Saint-Cheron ; 1591 prieur de la

                  Gaudaine

1590          BOUTROUE Philippe

1607          DOUBLET René

1620          GABOYS Pierre

1664          TRUDAINE François

1675          SALESSE Claude

16..            SAINTONGE F., + 1681 à 48 ans.

1684          PERDIGEON

1689          CHAMBIGE

1693          ROBBE

1697          LEVESQUE J.B., 1702 prieur de Lucé

1701          de MONCHY. Il publia, en 1702, les Instructions chrétiennes sur l’Eucharistie.

1703          LULLIER Pierre, à 1706

1706          PARISOT Nicolas,  + 1708 à 53 ans.

1708          de CONTY, desservant

1709          GOBY

1710          LAUGEOIS

1716          ROSSIGNOL

1720          BOULA

1728          FICHON René, 1735 prieur de Saint-Denis-les-Puits.

17..            de LORME Nicolas, + 1736 à 50 ans

1746          HENIN

1748          LAUGEOIS

1750          de LA SERRE

1753          HERON de GENTILLY

1756          GESLIN

1768          de PENVERN F.Gabriel

1775          BOMMIER

1782          MALOT Nicolas Etienne

1791          HUART C. ou J.P., 1792 curé de Saint-Cheron-du-Chemin

 

VICAIRES

 

  1. DESVIGNES
  2. de MENNEVILLE
  1. BIGOT
  2. PERRIER
  3. REGNAULT René
  4. GERSAINT
  1. PECHENARD
  1. DELRIEU Jean Baptiste
  1. de la COULDRE
  2. PARIS
  3. Du MOULIN
  1. de CHANTEPIE
  1. CHESNEAU
  1. BARBOT Pierre ; 1774 prieur de Revercourt
  1. LE SEURRE Simon Rémy, + 1775 à 52ans
  2. GIRARDOT
  1. LE MOINE du SAUCIER, 1781 prieur de Cernay
  1. DUHEMIN René Florent, 1781 prieur de Saint Barthélémy
  2. HUART G. ou J.F., 1785 prieur de Saint Barthélémy

1786          NAVIER

 

 

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